Depuis la nuit des temps, se murmure une séculaire légende au Pays du Soleil Levant.

On raconte que les Dieux ou le Destin, qu’importe le nom, puisqu’ils ne font peut-être qu’un,

nouent l’extrémité d’un fil rouge invisible à l’auriculaire de chaque nouveau-né,

pour le lier à l’autre moitié de son âme, incarnée ailleurs…

dans un autre corps.

Ainsi, même si le fil s’entortille, s’entremêle à d’autres cœurs,

les “flammes-jumelles” se retrouveront, tôt ou tard.

Qu’importe la distance, qu’importe le brouillard…

Ces deux moitiés se reconnaîtront pour ne former qu’un tout dans une symphonie de bonheur.

J’aime cette histoire, tellement porteuse d’espoir…

Même si parfois je me demande, s’il n’était pas daltonien, mon Destin…